tes doigts sur mon corps
tes lèvres sur les miennes
tes yeux dans les miens
ton souffle dans mon cou
ta peau contre la mienne
ma main sur ton coeur
mes mots dans ta bouche
ton odeur sur ma peau,
ton goût sur ma langue
mes ongles sur ton dos
tes hanches sur les miennes
tes paumes dans mes paumes
toi en moi & moi en toi
nos souffles à l’unisson
nos sens décuplés
partout tes baisers
je t’aime à en crever.
prends moi toute entière
pour la nuit si tu le veux
enfouie dans tes bras
seule et rien qu’a toi
je ne te veux que pour moi
je t’aime mon éternel.
mes mots aux abonnés absents
mes sentiments bien trop présents
les tiens enfouis
sous un trop pleins de cris
ni vraiment pesants
ni vraiment manquants
un jour présents
son lendemain absents
comment savoir ce que tu ressent?
ton corps je peux l’avoir
mais qu’en est-il de ton âme?
je t’aime à m’aliéner
mais je ne peux m’en vanter
si cet amour est partagé,
comment le vivre en paix?
si ce n’est pas le cas,
comment vivre avec ça?
trop de questions
dès que je pense à toi
mais à toi je pense sans cesse
drogue plus dure que la coca
mais bad plus fort encore que ça
descente sans lumière au bout du chemin
remontée impossible sans l’aide de ta main
de tout ces mots tu ne sais rien
tu nies les connaître du moins
tu te joues de moi
tu joue sans moi
tu joue avec moi
je ne joue plus sans toi.
doigts, lèvres, yeux, souffle, peau, oreilles, bouche, odeur, goût, dos, hanches,
tu m’a envahie,
amour infini
finira par l’oubli.
sensation d’un coeur qui bat plus fort
seules resterons les remords
d’avoir cru en toi encore.
ne te retourne pas
tu ne me verra pas
invisible à tes yeux
comme je le suis à ton coeur
même si l’eau reflète ton image
nuisible à mon bonheur
je ne serais la voir
sans un pincement au coeur
un véritable trou béant
une rage incontrôlée
une envie de fumer
un désire de brûler
une soif impossible à étancher
une nécessiter d’imploser
un cruelle envie de crier
de ne plus me retenir
me jetée dans tes bras
me cacher dans tes draps
me noyer dans tes yeux
disparaître dans ta bouche
côtoyer le néant
peu m’importe comment
ma dernière volonté
de toi me savoir aimée
plus que désirée
ne mourir rien qu’un instant
toi & moi uniques au monde
crépuscule apaisant
avant l’aurore envahissant
fenêtre ouverte sur mon mal-être
où je ne suis rien de moins,
rien de plus non plus
quand de tes pensées je ne suis rien
et de tes rêves encore moins
quand tu me voit simplement comme moi
alors que je ne suis que toi
je t’aime, ce n’est que ça.

Je..

.. mais toi pas

Tout cela je ne l’ai écrit que pour moi.. (toi?)© : moipourlui