Quand l’aurore met fin à l’amplitude de la nuit
Afin que le jour se dégage pour une autre vieDéduite de mon âge qui avance et qui me suit
Un jour heureux et un autre triste qui m’ennuient
Heureux quand le matin me fait sentir l’immense
Parfum de la rosée qui arrose ma glèbe enivrée
Le sentier de la perdrix où se picote les semences
Au sillon craquelé qui attend par être désaltéré
La voûte céleste étale ses nuages pleins de sève
Quand sa tendresse s’annonce par la brise boréale
Entraînant les flots aisés où se fécondent nos rêves
Qui abreuvent mon sillon pour un temps abyssal.
Sionie
Très jolie poème sionie, et un très beau villet,une très belle soirée pour toi,bisous,xxxxx