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Poème sur l'automne au couleurs chaudes - merci Merry
Aux couleurs de septembre
Mon bel été est presque terminé
Quand je vois septembre arriver
Quand les fleurs vont se dessécher
Ou que les feuilles seront coloriées
Au fond je le sais, il faut être réaliste
Mais je me permets d’être un peu triste
L’été depuis toujours, est ma saison préférée
Celle qui m’a fait le plus souvent rêver
Durant mes étés j’avais beaucoup de projets
De mes étés, j’ai gardé beaucoup de secrets
Je me surprenais parfois à désirer
Des choses, extérieures à mes pensées
Pourtant mois de septembre, et tes jours radieux
Tu seras toujours un délice pour mes yeux
De nos saisons, tu es le plus grand séducteur
Tu nous grises avec tes belles couleurs
Durant chaque nuit je peux me reposer
Pour profiter de chacune de mes journées
Il faut croire que tu es un bon système
On veut se rapprocher de celle qu’on aime
On a le goût de lui écrire des poèmes
Aussi, lui dire souvent qu’on l’aime
Mois de septembre tu sais, à bien y penser
Je devrais te garder toute l’année
Je serais prêt même, à te privilégier
Mais il ne faudrait pas, le dire à l’été
Texte Claude Marcel Breault
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Commentaires
BONJOUR Ma Toute Douce Sionie ♥
Je viens à pas feutrés dans ton petit monde ♥
Pour te souhaiter ♥
Une splendide apres-midi en ce Jeudi
Ainsi qu'une douce fin de semaine mon amie ♥
Dans la joie ♥
Et la bonne humeur ♥
Prend grand soin de toi ♥
Bisou & amitié
Redflower :-)
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Bonsoir ma pricesse sionie d'alain belle création ,
mon petit passage pour te souhaiter un bon week-end
bisous d'alain et voiçi mon petit poème je t'embrasse bien fort et bon courage
j'epére que ton rhum va mieu passe une bonne nuit je pense a toi pour les poèmes
merci pour ton com aller passe une bonne soirée !!
""Celui pour qui""
Je le regarde de haut
Mais ce n'est pas que je suis fière
C'est que mon âme n'est autre
Que l'écume des mers
Ombre de moi même
Flotter dans l'air
Le presque rien
N'être jamais que la mère
Du néant enfantin
La maîtresse amère
Du temps qui ne passe plus
Et de toutes ces prières
Qui me sont inconnues
Et que j'oublie
Car c'est ainsi
Je perdais le sommeil
Mon amour endormi
Dans ses yeux l'éternel
Et le soleil
Qui en ce jour ne brille
Que quand je sais qu'il est là
Qui au fond de mon espoir
Reste sans voir
Lui, l'indescriptible enfant
Au sourire qui fait éclore les roses
Il n'en a pas connaissance et pourtant
Il l'est en toutes choses
Celui pour qui je ris
Celui pour qui je pleure
""Ce poème est écrit par ""ALAIN""