-
-
a ce moment la 7 ans
15 années de mon enfance
Je revois ma vie d avant ma petite enfance
Ou tout à été détruit
Les années de mon enfance ont été des supplices
Tous ce gâchis des années perdu
Je revois la vie de ces années de guerre
Lorsque j’entends encore bombes et mitraillettes
***DC4 de Lépoque***
***
Dans la peur et dans la crainte
Toujours à labri dans les tranchées
Où tous étions panachés
Le bruit des bottes ressemblaient à nos galoches
Qui craquaient sur les routes anciennes pavées
Nous faisait sursauter
****Avion de guerre Millitaire****
Le cœur en sanglots Toujours sur les quais
Je regardais ces grands paquebots, les gents qui fuyait
La peur au ventre qui me donnait des maux
Et ces avions de guerre toujours en alerte
Étions enrobé d’une détresse.
Cette peur nous habillait toute la journée
La guerre finie. Admiration des colonies
Restaient les cultures de chaque pays qui nous entourait
Le retour en France j’avais 15 ans et la souffrance
Mais mon adolescence fut plus miroitante
Pour finir une vie adolescente fut plus insouciante
Ou j’ai trouvé les beaux jours de l’amour et l’insouciance
Sionie
Le Paquebot " Le Jamîque dans le quelle allions a Madagascar
la durée du voyage 1 mois
12 commentaires -
Mon ciel....Magique
Où que je sois,
Je pense à toi,
Quoi que tu fasses,
Je te suis à la trace...
Malgré cette souffrance,
Né à cause de cette minime distance,
Je ne cesse pas une seconde de penser à toi,
Puisque où que je sois,
C’est toi que je vois...
Et quand je regarde le ciel,
L’ange que je vois c’est toi...
Tu hantes mes pensées, tout comme mon sommeil,
Chaque nuits, je souris de nouveau à la vie,
Puisque je rêve que tu en fais partie...Quand je vois le soleil c’est ton sourire que je voix
Et oui je sais tu est loin ca tu me le dira pas
La lune me protéger de douce nuit
C’est avec la lune que tu me radouci
Quand je regarde le ciel me demande es que on vie pareil
Quand je regarde une couleur
Ca donne par fois peur
Quand je voie un objet met de es que je sui par fait
Quand je voie un animal je pourri pas lui faire du mal
Mais toi quand tu est la devant moi je te di simplement je t aime et je tiens toi
Rien que toi tu ma fait découvrir toute c’est chose la
Mon amour que j’aime pour toujoursSionie
2 commentaires -
A toi ue j' aime Une journée sans toi Ça ne va pas.
Une heure sans toi Non toujours pas...
Une minute sans toi En aucun droit!
Une seconde sans penser a toi Ça n' existe pas...
Le temps m' importe peu quand je suis avec toi Car je suis bien dans tes bras.
Le seul regret que j' ai C' est d' avoir mis tout ce temps pour te rencontrer...
Que je sois avec toi maintenant Je ne fais plus attention au temps.
Je t' aime et je t' aimerai Et cela pour l' éternité... Le jardin de mes souvenirs
Ce soir une foule de souvenirs remonte dans ma mémoire...
Et au jardin secret de mon coeur je découvre encore des trésors de bonheur...
Je me revois lorsque j' avais vingt ans perdue dans un monde qui me semblait bien grand alors que mon seul souci était de quitter ce monde d' enfant...
J' ai ensuite connu l 'amour et très vite...
J' ai vu que le monde des grands me réservait bien des tourments...
Ma vie poursuivait sa cour sème bousculant au gré du temps... Et puis là sont arrivés les trois plus grands amours de ma vie...
Et jamais à ce moment-là je n' aurais cru
que ce ne serait pas toujours un jardin fleuri...
J' ai connu le chagrin et les nuits sans fin...
Et me sentant trahie j'ai crié seule dans la nuitCe sont les blessures du coeur bien plus que celles du corps qui font les plus profondes cicatrices...
Mon plus grand regret aujourd'hui c' est de réaliser qu 'une partie de ma vie est demeurée dans l' ombre...
Toutes ces années j'ai cherché la lumièreCelle qui comme une bouée m' aiderait à traverser les ténèbres...
Là... où je m' étais engloutie...
Comme un animal blessé seul dans la nuit... Mais aujourd'hui je réalise...
Avec les années et la maturité acquise que rien n' est jamais perdu Que chaque larme versée a sa raison d' être...
Et qu 'à travers toutes ces épreuves que j' ai dû traverser.
La vie a encore sa beauté...
Et que rien n 'est comparable au sourire d' un enfant...
qui se blottit contre toi out doucement... Et que laisser parler son coeur C' est ouvrir la porte à l 'espoir...
Pour se laisser délivrer de ses chaînes d'amertumeOuila vie aura toujours un sens...
Elle nous apprend à devenir maîtres de nous-mêmes et nulle richesse n 'est plus grande...
que de savoir l 'apprécier... Claire de la CHEVROTIERE
10 commentaires -
En un lieu sur terre...
L'aube - silencieuse - se lève,
Là bas où il n'y a de trêve,
A la guerre, douceur de la nature...
Tellement d'endroits, différents,
Ce pourrait être, avec ou sans murs,
Un c'est déjà beaucoup trop...
J'y imagine des enfants au chaud,
Dans leur bras des aimants,
Voler en songe ce qu’ils leur volent [...]
L'insouciance d'une vie
Au courant d'un long fleuve
Où le sang ne s'y fait obole [...]
Obole à une croyance, fi
De tolérance, fabrique veuves
Qu'ils vont emprisonner
Derrière un rideau de rejet,
Leurs enfants déjà mortifiés,
Sanglots amers sont refoulés
Ils ne peuvent courir les rues,
Ne peuvent jouer en toute liberté,
Seulement en songe rêvasser.
Mais, de leur âme dé charnue,
En ont ils encore la force ?
Il y a des lieux où naître
Il ne fait pas en corps bon
Il y a des lieux où l'écorce
De se couvrir, où les champs paître,
Sur les arbres n'a le temps,
Ne seront jamais, où les ronds
Sont ceux que font les avions
A explosion, les tutures piégées,
Où les graines ne peuvent germer,
Où les pétales des fleurs sont courbées,
Des yeux en brisure, rivières salées,
Arrosés par une pluie putréfiée
Il y a des jungles avec organisés
Les assassinats, de végétation ou béton,
Les oiseaux on ne les y entend
Chanter, s'amusent à, ou sont écrasés.
L'aube a trépassé, est arrivé le son
Du carillonneur les mains en sang,
Une journée nouvelle a commencé,
De boucheries ou simple rejet
Se déchire dans la chaire des frères,
Des frères, ainsi nous sommes tous nés,
Et qu'importe, nés de la même terre mère,
Des frères en famille, il y en a sûrement
Qui sont dans des opposés camps,
Dans leurs mots en désaccords,
Pourtant dans les maux en accord...
C'est arrivé ou arrive prêt de chez vous,
L'ère où toutes les peuplades étaient en guerre,
Proche de Cro-Magnon, n'est pas loin derrière,
L'air haineux, assoiffé, il y a des furieux partout !
Il y a des lieux, où l'espoir
Au coeur, se nourrit de voir
L'aube prochaine, feu d'or s'élever,
De pouvoir les étoiles contempler,
Chaque souffle qu'il leur est accordé,
Vont le transformer en un océan,
Où fées, lutins et autres se côtoient,
Où le réel rejoint l'imaginaire,
Où un verre de terre sortant
Se souciant guerre des naturelles lois,
Parle de sa vie aux oiseaux en fer...
Il y a de ces lieux, où poussière
Très vite redevient, retombe, père
De ces hommes qui pour - Dieux - s'incombe
Le devoir d'autre d'en diriger,
De creuser in-con-sciemment leur tombe,
De l'humanité ils s'en sont dissociés.
Il y a des intérieurs, où la symphonie
Est coupée, qui ont été poussés
Sur des sentiers privé de la liberté
D'exister, de sentir la lune, la nuit,
S'offrir en toute charnelle simplicité.
Il y a des intérieurs, où patentées,
Les couleurs de la mer au ciel
Ne sont plus qu'ocre, desséché
En l'élan du ritournelle fiel.
Le coucher - tonitruant - arrive,
Dans la journées, sur des rives
Souillées, de toutes les créatures
Y sont passées, gel du futur [...]
En un lieu sur terre,
Les loups et louves se sont exilées
Dans la nuit de l'éternité,
Il n'y a plus que la cinquième saison,
Des larmes de roses fanées pour pleurer,
Du coeur, la seule chanson...
© Pascal Lamachère
p.h.l.31@hotmail.fr
4 commentaires